Le fondateur

Jean-Pierre MARGUARITTE, né à Paris en 1951, exerce l'ostéopathie holistique depuis 1984.

Son expérience

Kinésithérapeute de formation initiale, il a ensuite suivi le premier cycle des études médicales dont il a été écarté du fait du numerus clausus. Il s’est orienté vers les médecines complémentaires dont l’ostéopathie au sein de la première école d’ostéopathie dirigée par Bob BENICHOU puis à l’école d’ostéopathie ATMAN.

Ses rencontres avec le Professeur Jean-Robert RAPIN, pharmacologue et toxicologue français, fondateur du premier Diplôme universitaire de micro-nutrition à Dijon et le Docteur Christian CHARON, en charge du Diplôme universitaire de médecine naturelle à la faculté de médecine de Bobigny, lui ont apporté des connaissances scientifiques complémentaires qui l'ont conduit à expérimenter une méthodologie intégrant les liens existant entre le structurel, l'organique et le métabolique.

Conscient de la nécessité d’apporter une valeur plus scientifique à l’ostéopathie afin qu’elle soit reconnue comme une véritable médecine préventive à part entière, conscient également des freins constitués par les disparités existantes dans les modes de pratique et des carences existantes dans l’enseignement, il transmet depuis 2014 son savoir-faire à travers une structure organisée et dédiée à la promotion de l’ostéopathie.

Son investissement pour l’ostéopathie

Jean-Pierre MARGUARITTE a créé en mai 2008 l’association EUROPROMOSTEO et tente de convaincre les organismes politiques et administratifs français de l'intérêt sanitaire et économique de l'ostéopathie. Il attire l’attention de la nécessité urgente de s’accorder sur un référentiel métier afin d’établir un référentiel de formation mais aussi de veiller à sa bonne application afin que les ostéopathes acquièrent les compétences suffisantes pour combler le décalage existant entre les besoins de la population et le service de santé rendu.

L’absence de suite donnée au rapport qu’il a remis fin 2008 à un Conseiller de l’Elysée, sa collaboration avec le Professeur Bernard DEBRE pour la réalisation d’un projet de proposition de loi visant à établir un cadre juridique et règlementaire de la profession en 2012, avorté sous la pression de groupes dont les intérêts particuliers risquaient d’être menacés, la révélation d’une parfaite méconnaissance de l’ostéopathie lors des entretiens avec les conseillers politiques, ont renforcé sa détermination.

Etant ici utile de préciser que le texte du projet de proposition de loi préparé dans un esprit consensuel aurait pu être aménagé ce qui n’a pas été compris par tous.

Dès 2011, constatant une exploitation des ostéopathes dans les contrats aujourd’hui proposés par les plateformes offrant un tiers payant qui recrutent sans critère qualitatif, il s’est investi dans la constitution d’un réseau d’ostéopathes « experts » afin d’élever les niveaux de compétences pour inverser la situation auprès des Complémentaires santé. Indexer les forfaits de prise en charge des honoraires d’ostéopathie à la réduction de dépenses de santé réalisée n’est pas une utopie !

En 2013, la Cour d’Appel de Versailles reconnaît sa compétence et lui confirme son inscription sur la liste des experts judiciaires. Il décide alors de transmettre son savoir-faire à travers une formation post graduée sur deux jours ayant pour thème « Intégration des liens entre la structure, l’organique et le métabolique dans la pratique de l’ostéopathie ».

Lors d’un colloque médical fin 2014, il fait la rencontre de médecins hépato-gastroentérologues qui préparent l’organisation d’un Congrès sur les thérapies complémentaires. En juin 2015, il intègre en qualité d’administrateur et coordinateur du groupe « Thérapies manuelles » le GETCOP (Groupement d’Evaluation des Thérapies Complémentaires Personnalisées) en charge de l’organisation de ce Congrès.